J'ai une certaine tendance à tout faire au dernier moment, je l'admets. Il m'arrive régulièrement de me retrouver à me poser cette éternelle question "mais qu'est-ce que j'ai foutu jusqu'ici?". La réponse est plutôt simple, pas grand chose. Généralement, cela s'accompagne d'un état de stress allant crescendo. Quoique. Cela peut également s'accompagner de glande décomplexée et de je-m'en-foutisme honteux. Néanmoins, comme tout le monde, je traverse des périodes d'angoisse et de désespoir extrêmes à l'idée d'échouer comme une grosse merde.
Mercredi dernier, je me retrouvais une fois de plus dans cette situation. De plus, ma connexion internet, après avoir lentement agonisé venait tout juste de rendre son dernier soupir. Pour couronner le tout, un petit microbe s'était installé chez moi et je me sentais comme si un rouleau compresseur m'était passé dessus.
On peut dire que j'étais de plutôt mauvaise humeur et assez stressée. J'aurais été chez mes parents, je me serrai déjà passé les nerfs sur la première personne à m'adresser la parole. Et j'aurais vu la pression s'envoler lestement au loin. Me faisant cette réflexion, je me suis dit que ce serait bien dommage de montrer cette face-là de ma personnalité à mes amies qui me regardent encore avec des yeux innocents. Que faire? J'ai donc passé mes nerfs sur mon crayon et mon bloc de feuilles. Cela a joué son rôle, et bien que ça a donné naissance à des trucs globalement moches, il y en a deux qui, en toute humilité, me plaisent bien. Et rétrospectivement, ça donne un aperçu assez intéressant des effets du stress sur votre serviteur.
Mercredi dernier, je me retrouvais une fois de plus dans cette situation. De plus, ma connexion internet, après avoir lentement agonisé venait tout juste de rendre son dernier soupir. Pour couronner le tout, un petit microbe s'était installé chez moi et je me sentais comme si un rouleau compresseur m'était passé dessus.
On peut dire que j'étais de plutôt mauvaise humeur et assez stressée. J'aurais été chez mes parents, je me serrai déjà passé les nerfs sur la première personne à m'adresser la parole. Et j'aurais vu la pression s'envoler lestement au loin. Me faisant cette réflexion, je me suis dit que ce serait bien dommage de montrer cette face-là de ma personnalité à mes amies qui me regardent encore avec des yeux innocents. Que faire? J'ai donc passé mes nerfs sur mon crayon et mon bloc de feuilles. Cela a joué son rôle, et bien que ça a donné naissance à des trucs globalement moches, il y en a deux qui, en toute humilité, me plaisent bien. Et rétrospectivement, ça donne un aperçu assez intéressant des effets du stress sur votre serviteur.
Beware the wrath of the killer rabbit of Caerbannog
L'insouciance ou ça t'apprendra à regarder où tu marchesP.S.: si il y a des incultes (sauf le respect que je vous dois) qui ne connaîtraient pas le lapin de Caerbannog allez voir ceci
4 commentaires:
J'aime vraiment beaucoup le 2 ème avec le zoom sur le pied.
J'adore l'Insouscience ! D'ailleurs ça me rappelle que l'autre jour, dans ma procrastination pré examinatoire, je suis tombée sur cet article hillarant de Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A2teau_%28s%C3%A9duction%29
Magnifique !
lol wikipédia m'étonnera toujours!!
c'est vraiment un perle cet article.
et merci ^^
kikou! et bien je dois être inculte car ne connais pas ce lapin, néanmoins ma culture artistique et mon gout personnel me font te dire, que ce cher état préexaminatorial-postglandouillal, que nous avons en commun et qui se présente sous les mêmes symptômes, te donnent un coup de crayon très intéressant ma Rita! En espérant que tout va bien et qu'a l'instar de moi même tu bosse dès maintenant chaque cours au jour-le-jour!!! ;p biizzz
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